19 PDF - Andrew Ancel Gray, Theory of intermittent electrons

$25.00 each

Volume 24: Pages 139-153, 2011

Theory of intermittent electrons

Andrew Ancel Graya)

Avtec Corporation, 818 Brentwood, Austin, Texas 78757, USA

Intermittent electron theory is a way to explain microscopic physics without the use of photons. Instead, a dynamic model for the electron's structure is used, where the electron periodically turns its electric field “on” and “off.” The frequency of the electron's field pulsation is given by a De Broglie-like formula. Both the emission and the absorption of light can then be explained by using the physics of pulsating charges emitting and absorbing electromagnetic radiation. In the photoelectric effect, the electron's acceleration is found to cease just after the electron's pulsation frequency is synchronized with the incoming light wave (eliminating the need for photons in absorption). In the bremsstrahlung x-ray cutoff experiment, the pulsating bremsstrahlung electrons have a Nyquist frequency limit in their radiating capability, as pulsating charges have this natural limit due to chopping (eliminating the need for photons in emission). A planetary model for the atom is possible using an intermittent electron and a nucleus modeled with intermittent protons. In this way, an electron can circulate the nucleus by synchronizing its on time with the nuclear off time. Since the electron is off while the nucleus is on (and vice versa), then no centripetal radiation is emitted because the electron is not accelerated while its electric field is on (only while it is off). The resonance frequencies of hydrogen would then simply be the orbital frequencies of the planetary electrons, which would radiate at these resonance frequencies when thermally disturbed. In metallic solids, these atoms would have outer electron orbitals with infrared frequencies that would naturally emit infrared radiation when thermally disturbed. As the solid is heated, the more violent thermal agitations would disturb deeper electron orbitals with higher frequencies. The issue of entanglement and the EPR paradox can be resolved because the necessity for the inclusion of photons in the theory is eliminated. Also, the significance of Bell's theorem changes since the “entangled light pulses” are not described as discreet “photons” but randomly sized electromagnetic light wave pulses with much different probability distributions. Finally, several experiments are suggested that would prove this theory to be correct.

La théorie de l'électron intermittent est une manière d'expliquer la physique microscopique, sans utiliser de photons. Au lieu de cela, un modèle dynamique de la structure de l'électron est utilisé, où l'électron allume et éteint périodiquement son champ électrique. La fréquence du champ de pulsation de l'électron est donnée par une formule de de Broglie. L'émission et l'absorption de lumière peuvent alors être expliquées par la physique des charges pulsantes qui émettent et absorbent le rayonnement électromagnétique. Dans l'effet photoélectrique, l'accélération de l'électron cesse juste après que la fréquence de pulsation de l'électron se synchronise avec l'onde de la lumière entrante (éliminant le besoin de photons dans l'absorption). Dans l'expérimentation de coupure aux rayons X par Bremsstrahlung, les pulsations d'électrons Bremsstrahlung ont une fréquence limite, la fréquence de Nyquist dans leur capacité de rayonnement, puisque les charges pulsantes ont cette limite naturelle en raison du découpage (éliminant le besoin de photons dans l'émission). Un modèle planétaire de l'atome est possible en utilisant un électron intermittent et un noyau modélisés avec des protons intermittents. De cette façon, un électron peut circuler autour du noyau en synchronisant son temps allumé sur le temps nucléaire éteint. Puisque l'électron est éteint alors que le noyau est allumé (et vice versa), aucun rayonnement centripète n'est émis car l'électron n'est pas accéléré alors que son champ électrique est allumé (seulement lorsqu'il est éteint). Les fréquences de résonance de l'hydrogène seraient alors simplement les fréquences orbitales des électrons planétaires qui rayonneraient à ces fréquences de résonance lorsqu'elles sont thermiquement perturbées. Dans les solides métalliques, ces atomes auraient des orbitales extérieurs avec des fréquences infrarouges qui émettraient naturellement un rayonnement infrarouge lorsqu'elles sont thermiquement perturbées. Comme le solide est chauffé, des agitations thermiques violentes perturberaient les orbitales plus profondes avec des fréquences plus élevées. La question de l'emmêlement et le paradoxe EPR peuvent être résolus car la nécessité d'intégrer les photons dans la théorie est éliminée. De plus, les changements du théorème de Bell depuis les “impulsions de lumière emmêlées” ne sont pas décrits comme des “photons” discrets, mais comme des impulsions courtes de l'onde électromagnétique avec plusieurs distributions de probabilités différentes. Pour terminer, on peut mentionner que de nombreuses expériences sont à même de prouver que cette théorie est correcte.

Keywords: Intermittent Electron Theory, Quantum Mechanics Replacement, No Photons, Dynamic Electron Structure

Received: August 21, 2010; Accepted: January 20, 2011; Published Online: February 14, 2011

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