16. Ajay Sharma, Did the Cockcroft-Walton experiment really confirm Einstein’s DE=D

$25.00 each

Volume 27: Pages 139-142, 2014

Did the Cockcroft-Walton experiment really confirm Einstein’s DE=Dmc2 first of all?

Ajay Sharmaa)

Fundamental Physics Society, His Mercy Enclave, Post Box 107 GPO, Shimla 171001, HP, India

 

The original aim of Cockcroft and Walton’s experiment was to disintegrate Li7 with fast protons yielding alpha particles. Energy of 17.2MeV was emitted. This experiment is regarded as the first confirmation of DE=Dmc2. The theoretical re-analysis of data as given by Cockcroft in his Nobel Lecture justifies only splitting of Li7 by fast protons and is not consistent with DE=Dmc2. The values of the masses of proton, Li7, and alpha particle have varied significantly due to improvements in the precision of instruments. If the values of reactants (1H = 1.0072u, 7Li =7.010 4u) and products (2 x 4He = 8.002 2u) are taken in account as existed at the time of Cockcroft’s experiments, then percentage difference from DE=Dmc2 is 16.594. Soon after this Bainbridge improved the value of the mass of Li7 at 7.0130amu. Then the percentage deviation from DE = Dmc2 decreased to 2.491. If the current values of the masses of reactants (1H =1.0072764u, 7Li = 7.01600455u) and products (2 4He = 8.0030122 u) are taken then the percentage difference turns out to be 9.768. In a nutshell, it is concluded that such a significant experiment which is regarded as first confirmation of DE=Dmc2, be repeated with very precise instruments, eliminating all possible sources of errors, then results be compared with DE=Dmc2. Cockcroft and Walton‘s experiment has not been repeated by scientists, which increases the significance of the repetition. It is a basic principle of science that no conclusions can be drawn on the basis of a single observation. Results are widely accepted if repeatable.

 

L'objectif initial de l'expérience de Cockcroft et Walton était de désintégrer 7Li avec des protons rapides afin d'obtenir des particules alpha. Une énergie de 17,2 MeV a été émise. Cette expérience est considérée comme la première confirmation de la relation DE=Dmc2. Les nouvelles analyses théoriques des données fournies par Cockcroft dans son discours de réception du prix Nobel justifient seulement la scission des atomes de 7Li par des protons rapides et ne sont pas compatibles avec la relation DE=Dmc2. Les valeurs des masses du proton, de 7Li et des particules alpha ont varié de façon significative en raison d'améliorations de la précision des instruments. Si les valeurs des réactifs (1H = 1,0072 u , 7Li =7,0104 u) et des produits (2 x4He = 8.0022 u) connues à l'époque de l'expérience de Cockroft sont prises en compte, alors la différence DE=Dmc2 en pourcentage est de 16,594. Peu après cela, Bainbridge a obtenu une meilleure valeur de la masse de 7Li de 7,0130 amu. L'écart en pourcentage par rapport à DE = Dmc2 a alors diminué pour atteindre 2,491. Si les valeurs actuelles des masses des réactifs (1H =1,0072764 u, 7Li = 7,01600455 u) et des produits (2 4He = 8,0030122 u ) sont utilisées, la différence en pourcentage devient alors 9,768. En bref, nous arrivons à la conclusion qu'une expérience si importante considérée comme la première confirmation de DE=Dmc2 devrait être reproduite avec des instruments très précis afin d'éliminer toutes les sources d'erreur possibles, et que les résultats devraient ensuite être comparés à DE=Dmc2. L'expérience de Cockcroft et Walton n'a pas été reproduite par des chercheurs, ce qui augmente l'importance de la reproduction de cette expérience. L'un des principes de base de la science est qu'aucune conclusion ne peut être tirée d'une seule observation. Les résultats deviennent largement acceptés s'ils sont reproductibles.

Keywords: Cockcroft–Walton Experiment

Received: June 3, 2013; Accepted: January 19, 2014; Published Online: March 5, 2014

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