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Volume 37: Pages 255-269, 2024
A Planck scale theory of time, with a fast early cosmological time rate, and rederivations for relativistic energy and time dilation
J. M. Kerra)
16 Rose Lane, Ripley, Surrey, GU23 6NE, United Kingdom
Among the issues to be resolved between general relativity (GR) and quantum mechanics (QM) are their differences about time. Block time has been weakened in two areas of its foundations recently: the small-scale reversibility has been falsified by experiment in quantum processes, and spacetime is now widely seen as emerging from unknown physics, rather than fundamental. This leaves room for differences to the nature of time. Here a theory of time is set out, in which light and matter arise in the small-scale structure of space, as waves in the dimensions themselves, travelling on the axes. It reinterprets special relativity (SR), with two rederivations. The reasoning that led to block time, such as Penrose’s version with three objects in one frame, is removed via a difference to frames that usually has no effect - the two observers are related to the event separately, as their relationships to it imply different, incompatible, positionings for the axes. This also leads to an explanation for light always moving at the same speed in relation to matter: with several objects moving differently, each is related to the light beam separately. In cosmology, new data suggest galaxies formed earlier than expected, with higher masses. And even earlier, inflation and variable speed of light (VSL) theories both describe extremely rapid events. Planck scale time (PST) theory includes a specific mechanism for an overall time rate, which starts fast, then slows over time, and is consistent with supernova and gamma ray burst data. This allows galaxies more time to form, and in PST all matter's mass-energy descends with the time rate (proportional time and energy changes in a gravitational field can be taken in the same way). This can also explain the ‘downsizing’ sequence in galaxy formation, first described in 1996, in which stars in more massive galaxies formed earlier and quicker.
Parmi les questions à résoudre entre la relativité générale (RG) et la mécanique quantique (MQ) figurent leurs différences sur le temps. Le temps bloc a récemment été affaibli dans deux domaines fondamentaux : la réversibilité à petite échelle a été falsifiée par des expériences sur des processus quantiques, et l'espace-temps est désormais largement considéré comme émergeant d'une physique inconnue, plutôt que fondamentale. Cela laisse place à des différences dans la nature du temps. Ici est exposée une théorie du temps, dans laquelle la lumière et la matière apparaissent dans la structure à petite échelle de l'espace, comme des ondes dans les dimensions elles-mêmes, se déplaçant sur les axes. Il réinterprète la relativité restreinte (RR), avec deux redérivations. Le raisonnement qui a conduit au temps bloc, comme la version de Penrose avec trois objets dans un cadre, est supprimé via une différence par rapport aux cadres qui n'a généralement aucun effet - les deux observateurs sont liés à l'événement séparément, car leurs relations avec celui-ci impliquent des différences, incompatibles, positionnements des axes. Cela conduit également à une explication du fait que la lumière se déplace toujours à la même vitesse par rapport à la matière : avec plusieurs objets se déplaçant différemment, chacun est lié séparément au faisceau lumineux. En cosmologie, de nouvelles données suggèrent que les galaxies se sont formées plus tôt que prévu, avec des masses plus élevées. Et même plus tôt, les théories de l’inflation et de la vitesse variable de la lumière (VVL) décrivent toutes deux des événements extrêmement rapides. La théorie du temps à l'échelle de Planck (ETP)) comprend un mécanisme spécifique pour un taux de temps global, qui démarre rapidement, puis ralentit avec le temps, et est cohérent avec les données de quartier stochastique (QS) et Eclat de radiation gamma (ERG). Cela donne aux galaxies plus de temps pour se former, et dans le PST, toute l'énergie de masse de la matière descend avec le temps (les changements proportionnels de temps et d'énergie dans un champ gravitationnel peuvent être pris de la même manière). Cela peut donc également expliquer la séquence de ‘réduction‘ de la formation des galaxies, décrite pour la première fois en 1996, dans laquelle les étoiles des galaxies plus massives se formaient plus tôt et plus rapidement.
Key words: Time; Planck Scale Time Theory, PST; Rotation Theory, RT; Dimensions; Background Rotation; Varying Time Cosmology, VTC; Downsizing.
Received 3 July 2024; accepted 26 August 2024; published online 11 October 2024
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