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Volume 29: Pages 503-505, 2016
Spatial locality is the hidden variable in entanglement experiments
Ramzi Suleimana)
Department of Psychology, University of Haifa, Abba Khoushy Avenue 199, Haifa 3498838, Israel and
Department of Philosophy, Al Quds University, East Jerusalem and Abu Dies, P.O.B. 51000, Palestine
In a recent article in Nature [Hensen et al., Nature 526, 682 (2015)], the authors reported that they have accomplished a “loophole-free” test of Bell’s theorem. They speculated that further improvements in their experimental design could settle an 80 years debate in favor of quantum theory’s stance that entanglement is “action at a distance.” We direct attention to a spatial aspect of locality, not considered by Bell’s theorem nor by any of its experimental tests. We refer to the possibility that two particles distancing from each other could remain spatially connected, even when they have distanced enough to ensure that information between them was transmitted faster than the velocity of light. We show that any local-deterministic relativity theory which predicts length extension for distancing bodies can maintain spatial locality. We briefly note that the recently proposed information relativity theory satisfies the aforementioned condition, and that it predicts and explains several quantum phenomena, despite being local and deterministic. We conclude by arguing that quantum entanglement is not nonlocal and that the unnoticed spatial dimension of locality is in fact the hidden variable conjectured in the seminal EPR paper.
Dans un article récent paru dans Nature [Volume 526, p. 682 (2015)]les auteurs ont affirmé avoir réalisé un test "imparable" du théorème de Bell. Les auteurs ont spéculé qu'en améliorant encore davantage leur conception expérimentale, il serait possible de trancher un débat vieux de 80 ans en la faveur de la position de la théorie quantique selon laquelle l'intrication est une "action à distance". Nous attirons l'attention sur un aspect spatial de la localité, non envisagé par le théorème de Bell ni par aucun de ses tests expérimentaux. Nous faisons référence à la possibilité que deux particules s'éloignant l'une de l'autre pourraient rester spatialement déconnectées, même après avoir atteint une distance de séparation suffisante pour garantir que les informations qu'elles échangent sont envoyées plus vite que la lumière. Nous montrons que toute théorie locale-déterministe de la relativité enfreignant la contraction de Lorentz pour les corps qui s'éloignent peut conserver la localité spatiale. Nous notons brièvement que la Théorie de la relativité de l'information récemment proposée satisfait à la condition susmentionnée et qu'elle prédit et explique plusieurs phénomènes quantiques, bien qu'elle soit locale et déterministe. Nous concluons en affirmant que l'intrication quantique n'est pas non-locale et que la dimension spatiale non remarquée de la localité est en fait la variable cachée conjecturée par l'article pionnier du paradoxe EPR.
Key words: Entanglement; Nonlocality; Bell’s Theorem; Quantum Theory; EPR; Lorentz Contraction, Information Relativity.
Received: February 24, 2016; Accepted: September 5, 2016; Published Online: October 4, 2016
a)This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.